Love Robot, c’est quoi ce truc encore ?
Rappelez-vous, nous vous avons dit que notre truc, c’est l’esprit Porn 70’s.
Ce qui ne nous empêche pas d’être en avance sur notre temps : Love Robot est la première super-production du futur tournée dans le présent !
Si vous ne comprenez pas la logique du truc, un conseil avisé, laissez tomber. Les voyages spatio-temporels peuvent endommager les cerveaux de façon irrémédiable. La preuve : notre scénariste.
Du suspense, de l’action, du girl on girl !
« Après Orange Mécanique et 2001 L’Odyssée de l’Espace, Love Robot est une grande claque dans la gueule, surtout si votre femme vous surprend à vous palucher devant » – Robert X., le concierge du Studio
Bon, pour résumer la situation : Flora Milano, technicienne à tout faire du studio Babylon Drowning, récemment implanté sur Mars pour de sordides histoires de taxe foncière, doit réparer et tester le Love Robot Jeanine Deville.
A partir de là, tout se barre en couille, comme d’habitude serait-on tenté de dire… Action, intrigue, cascades spectaculaires et surtout : du lesbianisme partout ! Le train-train quotidien, quoi…
Les effets spéciaux
Après avoir visionné Avatar V et Planète Terreur IX, la direction a décidé de volontairement rompre ce cercle vicieux Gros Budget / Gros Effets Spéciaux / Grosse Promotion Mondiale, et s’est orientée vers u hommage fin et conceptuel des films de série Z des années 50-60.
En termes clairs : il n’y a pas d’effets spéciaux, MAIS la production a failli été assurée en couleur.
Quant à la bande son, ayant été partiellement dévorée par un alien, elle est tout à fait dans l’esprit « garage 70’s ».
Une dernière remarque importante : aucun animal n’a été exploité, tué, amputé, autopsié ou cuisiné sur place lors du tournage.